A la base, ma définition du coaching se résumait ainsi : pouvoir écouter l’autre, lui poser les bonnes questions pour qu’il trouve en lui-même les actions à mener pour résoudre son problème et arriver à avancer. Cette définition, je l’avais écrite quand j’ai commencé ma formation en coaching, il y a quelques années. Finalement, je la trouve toujours juste et elle me correspond bien … mais j’ai quand même envie d’y apporter quelques précisions sur ma manière actuelle de coacher des dirigeants de PME et d’ASBL.

Je sais bien que le terme de coach est parfois utilisé à tort ou mal compris et qu’on le confond avec :

  • le manager qui gère
  • le leader qui mène
  • le mentor qui inspire
  • le thérapeute qui guérit
  • le consultant qui conseille

Pour moi, le coaching se situe davantage dans une attitude, celle d’accompagner l’autre … et cette attitude peut être présente dans ces différentes fonctions. On peut tout à fait être consultant avec une attitude de coach et c’est d’ailleurs plus efficace pour faire émerger des solutions qui seront réellement utiles et utilisées.

En entreprise, on fait parfois appel à un(e) coach pour régler un problème avec un travailleur ou un responsable qui « dysfonctionne », qui ne sait pas s’y prendre avec son équipe, qui communique mal … mais est-ce réellement de cette manière que l’on va faire avancer les choses et que l’on va impliquer la personne ?

Personnellement, quand je coache en entreprise, je rencontre d’abord toutes les personnes concernées pour vérifier que l’on parle bien le même langage et pour fixer un cadre. Lors de ce rdv de 1er contact on réunit : la personne qui est en demande de coaching ainsi que son N+1 et le responsable RH. C’est le moment où l’on s’entend sur le cadre, les objectifs du coaching ainsi que le nombre de séances. Et surtout, je peux ainsi vérifier que la personne à qui on propose un coaching est effectivement en demande d’accompagnement, qu’elle est partante sur ce processus de changement et que je lui correspond aussi en tant que coach. En effet, la confiance est un élément indispensable pour entamer un tel accompagnement en développement professionnel.

Ensuite, les séances de coaching (entre 5 et 7) se déroulent en toute confidentialité et à la fin, je prévois également une réunion de clôture (avec les mêmes personnes qu’au début) pour faire le point sur les objectifs du coaching. 

C’est ma manière d’être coach, car je suis convaincue qu’un coaching ne doit pas être imposé mais proposé et que la personne doit réellement être partie prenante dans cet accompagnement, sinon ça ne fonctionnera pas. C’est comme quand on inscrit un travailleur à une journée de formation sur la communication dans le but de résoudre tous les « problèmes » de communication dans son équipe … et bien ça ne fonctionne pas non plus !

Je propose donc du coaching pour les directions et responsables d’équipe qui veulent faire bouger leur entreprise, se positionner à leur juste place, apprendre à déléguer, dépasser leurs freins et communiquer de manière juste !

Si tu veux en savoir plus sur mon coaching en entreprise, n’hésite pas à me contacter pour en discuter : info@virginiecarlier.be